23 mai 2009
JE TE VOIS ... ... RIDICULE !!
Pauvre, pauvre, pauvre petit faitout !! Le zèle excessif de la Maréchaussée le ridiculise et les infâmes juges rouges trainent son nom dans la boue !!! Le tout, en croyant bien faire !! C'est-y pas un comble, ma bonne dame ??!!
Un professeur de philosophie facétieux, décidé de faire montre de résistance passive face à une interpellation musclée à laquelle il assiste, se met à déclamer un «Je te vois Sarkozy !» conscient du rôle de mentor excité que produit le susdit sur nos condés si prompte à la bavure non conventionnée !
Et paf ! Enchristé pour "Tapage diurne injurieux" !!
Là, le doute m'habite, comme disait Pierre. Je m'étonne. J'expectative. J'ébaubise. Mais où peut bien se trouver l'insulte. Voyons voir ....
- Je : Pronom personnel de la première personne du singulier des deux genres employé comme sujet ... Non.
- Te : Pronom personnel de la deuxième personne du singulier des deux genres employés comme complément ... Non plus.
- Vois : du verbe voir, transitif direct. Percevoir quelquechose de ses yeux. Pas vraiment.
- Sarkozy : Nom propre. Sixième président de la Ve République française. Fut obligé de démissionner sous la vindicte populaire ..... Nooonn, je déconne !!
Or donc, conclusion impitoyable pour notre poupée gourou préférée, le mot Sarkozy est devenu une insulte, pire qu'un gros mot, un crime de lèse talonnettes en lui-même. C'est le nabot qui se mord la banane ! Aie, ça doit faire mal !!!
A force de vouloir travailler dans le sens du Fü, pardon de sa majesté Patek 1er, les séides du national-sarkozysme ridiculise l'idiot en colère et confirment ce que l'on savait déjà sur le peu de cas qu'ils font de la liberté d'expression et la liberté de dire des conneries.
La maison poulaga n'est pas atteinte du virus de la grippe aviaire, mais celui de la crispation des zygomatiques ! Détendez-vous les gars. A force d'être tendu comme cela, vous allez finir par remplir le Vel' d'hiv', avant même qu'on vous le demande !!!
Enfin, même si c'est dans l'air du temps .....
Un professeur de philosophie facétieux, décidé de faire montre de résistance passive face à une interpellation musclée à laquelle il assiste, se met à déclamer un «Je te vois Sarkozy !» conscient du rôle de mentor excité que produit le susdit sur nos condés si prompte à la bavure non conventionnée !
Et paf ! Enchristé pour "Tapage diurne injurieux" !!
Là, le doute m'habite, comme disait Pierre. Je m'étonne. J'expectative. J'ébaubise. Mais où peut bien se trouver l'insulte. Voyons voir ....
- Je : Pronom personnel de la première personne du singulier des deux genres employé comme sujet ... Non.
- Te : Pronom personnel de la deuxième personne du singulier des deux genres employés comme complément ... Non plus.
- Vois : du verbe voir, transitif direct. Percevoir quelquechose de ses yeux. Pas vraiment.
- Sarkozy : Nom propre. Sixième président de la Ve République française. Fut obligé de démissionner sous la vindicte populaire ..... Nooonn, je déconne !!
Or donc, conclusion impitoyable pour notre poupée gourou préférée, le mot Sarkozy est devenu une insulte, pire qu'un gros mot, un crime de lèse talonnettes en lui-même. C'est le nabot qui se mord la banane ! Aie, ça doit faire mal !!!
A force de vouloir travailler dans le sens du Fü, pardon de sa majesté Patek 1er, les séides du national-sarkozysme ridiculise l'idiot en colère et confirment ce que l'on savait déjà sur le peu de cas qu'ils font de la liberté d'expression et la liberté de dire des conneries.
La maison poulaga n'est pas atteinte du virus de la grippe aviaire, mais celui de la crispation des zygomatiques ! Détendez-vous les gars. A force d'être tendu comme cela, vous allez finir par remplir le Vel' d'hiv', avant même qu'on vous le demande !!!
Enfin, même si c'est dans l'air du temps .....
Commentaires