Nouvelle catégorie créée. En fonction de mon inspiration ....

D COMME ....

DEPARDIEU Gérard

Acteur alcoolique français au talent indéniable.

On retiendra surtout son rôle dans le vol City Jet Paris-Dublin du 16 août 2011 :

"Miction impossible"

Les Gaulois dans l'espace par EdouardBaer

Je ne pouvais pas passer à côté de ce texte envoyé par ma cousine et que certains doivent déjà connaître. Je vous le fais donc partager. A mettre en rapport avec ce que j'ai déjà écrit sur les cons aux logis.

A savoir également, que les torchères du Niger émettent autant de CO2 que l'ensemble du parc automobile allemand, anglais et français réunis*. Les torchères sont les gaz, enflammés volontairement par les compagnies pétrolières et qui sortent en même temps que le pétrole. Et on ne parle QUE du Niger !!

*Documentaire Arte 28 juin 2011 "Carbonisés"

Vous avez raison, ils nous prennent vraiment pour des cons !

Voici donc un texte édifiant qu'il serait bon de diffuser plus largement !!

Une vieille femme a choisi le sac en plastique pour ses achats, la  caissière lui a reproché de ne pas se mettre à " l'écologie ".

La caissière dit à la femme que la génération de la vieille femme ne comprenait tout simplement pas le mouvement écologique ; que seuls les jeunes allaient payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources!

La vieille femme s'est excusée et a expliqué: «  Je suis désolée, nous n'avions pas le mouvement écologique dans mon temps ». Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière   en rajouta, acide :

" Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !"

La vieille dame admît qu'à l'époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. Et elle ajouta :

À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on  ne connaissait pas le mouvement écologique.

- En mon temps, on montait l'escalier; on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu'à l'épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux coins de rues. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

- À l'époque, on lavait les couches de bébé; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans une machine avalant 220 volts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements. Mais on  ne connaissait pas le mouvement écologique.

- À l'époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre. C'est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement écologique.

- À l'époque, on n'avait qu'une TV ou une radio dans la maison; pas  une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la  taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas  ! Mais, c'est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique.

- Dans la cuisine, on s'activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans effort. Diable, c'est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement écologique.

- Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait des rembourrages comme du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servit, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. Vous avez bien dit mouvement écologique ?

- À l'époque, on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon; on n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées comme désormais,      alors qu'il existe un mouvement écologique.

- À l'époque, on travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, vous avez raison: on ne connaissait pas le mouvement écologique

- À l'époque, on buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau. Alors qu'avec un mouvement écologique …

- On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo ou de nouvelles cartouches en plastique; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir tout simplement à chaque rasage. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le   mouvement écologique.

- À l'époque, les gens prenaient le bus ou le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.   Bien le mouvement écologique !

- À l'époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayons et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

- On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui, ces mêmes jeunes qui adhèrent pour les 3/4 aux idées et mouvements écologiques.

- A mon époque, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l'environnement.

« ALORS VIENS PAS ME FAIRE " CH... " AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE !!! »

«  Au plaisir, Mademoiselle ! »

Rien n'est totalement terminé tant que tout n'est pas complètement achevé

Pierre DAC

Chers lecteur(trice)s je pense que vous êtes rendus compte de mon absence prolongée après un bref retour parmi vous. J’aurai préféré dire parmi nous, mais mon chat n’est plus là pour me le dire !

Cette absence qui vous pèse, je n’en doute pas un instant, a pour origine des maux et des mots ! L’un est un problème familial qui, bien que bénin, m’accapare (entière) et l’autre est bien un problème de mots !

Je suis, j’en suis marri, à court de bons mots pour commenter les événements actuels dont la quantité le dispute à la médiocrité.

Et plutôt que d’être pontifiant, je préfère me taire ! Comme dirait la lune.

Or donc, malgré la Marine, nationale et socialiste, qui a oublié ses cours d’histoire, les socialistes, qui n’ont ni programme, ni candidat, ni réelle volonté de gagner, un ministre de l’intérieur qui ressemble plus à un chef de section de la milice dans le Vercors ou les pseudo réformes fiscales qui s’attaquent aux parcs à thèmes, le niveau reste bien bas et ne me fait même plus rire.

L’affolement généralisé face à la chute des bourses dans un krach que tous refusent de nommer ou l’échec d’une politique européenne commune ne m’amuse guère plus.

Quand à l’emballement médiatique à propos de la moindre petite bactérie ou les « soudaines » révélations sur la françafrique et les cadavres de la V^e République, je pouffe sans entrain.

Le fait est, et les anciens pourront en témoigner, voilà plus de trois ans que j’essaye de dénoncer les travers de notre époque corrompue. J’ai même l’impression, peut-être à tort, que j’en ai fait le tour.

Que les nouveaux se reportent à tout ce que j’ai écris sur les sujets comme la politique, la santé, l’économie…..

Pour preuve ce petit texte qui date du 18 juin 2008 et qui pourrait encore servir : Pouvoir d'achat, quand tu nous tiens ! - 18 juin 2008

Si je ne mets pas un terme définitif à ce blog, je vais effectivement m’en éloigner (encore plus que maintenant) et la moindre des choses était de vous prévenir afin que vous n’attendiez pas en vain de me lire sur des sujets qui ne sont plus tellement d’actualité, depuis le temps qu’elle se répète…

Je laisse à d’autres le soin de commenter cette actualité en ces temps troublés où la conscience populaire semble avoir repris de la vigueur. Pour preuve ce qui s’est passé dans les pays arabes et ce qui se passe en ce moment en Israël.

Le printemps des peuples a commencé, l’onde de choc résonne toujours et j’espère qu’elle ne s’éteindra pas.

Il me semble donc avoir fait ce qui me semblait nécessaire pendant ces trois années, à savoir apporter ma petite pierre à ce grand édifice de réveil social. Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui ont pris le relais pour dénoncer la fumisterie climatique et écologique, la destruction du pacte républicain et de nos services publics, l’incurie de nos gouvernants, l’agitation maladive et la nullité du p’tit faitout (zéro + zéro = La tête à Sarko !!) l’immoralité et le mépris des banquiers et des spéculateurs.

Je tenais encore à vous remercier de votre fidélité et de vos commentaires qui m’ont soutenu et aider à ne pas croire que j’hurlai seul dans un désert.

Aujourd’hui, le désert semble se peupler de révoltés qui ont ouvert les yeux et qui sont prêts à ouvrir les yeux à leurs concitoyens.

Merci aux autres bloggueurs avec qui j’ai échangé des informations.

Et une pensée Zémue pour Démogue, Céd et Gwendal qui furent les premiers à laisser un commentaire sur le blog de votre serviteur. Gloire leur soit rendue !

L’écriture est pour moi un besoin vital, mais il me semble qu’il est temps pour moi de passer à autre chose. Je vais m’atteler à finir un livre que j’ai commencé il y a quelques temps de cela et éditer un nouveau recueil de nouvelles que je n’ai pas cessé d’écrire.

Merci encore et n’hésitez pas à passer de temps en temps. La porte restera toujours ouverte.

Bonne continuation à toutes et à tous et n’oubliez pas les autres sites.